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Fusions et Acquisitions – L’Agence France Presse rachetée par l’Autorité Palestinienne
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Par Michel Garroté
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Lundi 18 octobre 2010 – 10 Heshvan 5771
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L’Agence France Presse, plus connue sous le nom d’Agence France Palestine (AFP), raconte (cf. le lien vers la source au bas de cet article) que « le président palestinien Mahmoud Abbas a mis en garde contre une montée de l'extrémisme si le processus de paix venait à échouer, lors d'une interview exclusive diffusée dimanche par la télévision publique israélienne » (Note de Michel Garroté : 1- le « président » palestinien Mahmoud Abbas n’est président de rien du tout. 2- « L’Autorité » palestinienne dont Abbas est « président » n’a aucune autorité et elle est financée par les contribuables occidentaux. 3- Sans la présence des Forces de Défense d’Israël en Judée et en Samarie, il y a longtemps que le très corrompu Abbas se serait fait liquider par des éléments du Fatah, de l’OLP, du FPLP ou du Hamas. 4- La mise en garde d’Abbas contre une « montée de l'extrémisme » si le « processus de paix » venait à échouer est une farce ; pendant l’entière durée du moratoire sur les constructions en Judée et en Samarie, Abbas n’a pas voulu négocier ; maintenant que le moratoire est arrivé à échéance, Abbas veut soudain négocier, mais à condition que pas un seul civil juif israélien de Judée et de Samarie ne construise ne serait-ce qu’une chasse d’eau ou une ventilation dans sa maison ; cela s’appelle un processus de guerre et non pas un « processus de paix ». 5- Quant à l’interview d’Abbas diffusée à la télévision israélienne, il s’agit de la première chaîne de télévision israélienne et non pas de « la télévision publique israélienne » ; et la première chaîne de télévision israélienne – certes « publique » officiellement – ne reflète pas pour autant le public israélien et ne reflète pas non plus l’opinion publique israélienne ; pas plus que l’AFP ou le Groupe – public – France Télévisions ne reflètent le public français et l’opinion publique française).
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L’Agence France Presse ajoute : « "Le désespoir alimentera l'extrémisme" a averti le dirigeant palestinien interrogé sur la possibilité d'un échec, tout en déclarant qu'il gardait "de grands espoirs dans les efforts américains" de relancer le dialogue et en écartant l'hypothèse d'une "nouvelle Intifada". Il a répété l'opposition des Palestiniens à négocier sans un gel complet de la colonisation par Israël, soulignant qu'il s'agit là d'une demande avancée par l'ensemble de la communauté internationale, notamment les Etats-Unis et l'Europe, et que les Palestiniens ne pouvaient être en retrait » (Note de Michel Garroté : 1- Abbas-le-Pinocchio ose alléguer – et menacer – que "le désespoir alimentera l'extrémisme" ; pour ce qui me concerne, ayant parlé, lors de mes quatre séjours en Israël, y compris lors de mon dernier séjour, en septembre, avec des arabes israéliens, je peux ici, encore une fois, répéter que le désespoir des Palestiniens vient de la corruption d’Abbas ; et je peux ici, encore une fois, répéter qu’un jour viendra, où le désespoir des Palestiniens, qui vient de la corruption d’Abbas, alimentera certes « l’extrémisme », non pas contre le peuple israélien, mais contre les dirigeants totalitaires, corrompus et extrémistes du Fatah, de l’OLP, du FPLP et du Hamas. 2- Lorsque Abbas parle des « efforts américains », il veut, en fait, parler d’Obama qui est aux abois et non pas parler du peuple américain. 3- Lorsque Abbas parle de « l'ensemble de la communauté internationale, notamment les Etats-Unis et l'Europe », il veut, en fait, parler exclusivement de Messieurs Obama, Moratinos et Kouchner).
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L’Agence France Presse poursuit : « Il (Abbas) a réaffirmé que les Palestiniens n'avaient pas à reconnaître le caractère juif de l'Etat d'Israël vu qu'ils ont déjà reconnu l'Etat. Il a rappelé à ce propos que l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP), dont il est à la tête, avait déjà reconnu en 1993 "le droit à l'existence d'Israël" en signant en septembre 1993 les accords d'Oslo de reconnaissance mutuelle. "Il suffit que nous ayons reconnu Israël. Voilà, c'est un Etat juif. Vous pouvez en faire l'Etat que vous voulez, c'est votre droit, mais ne demandez pas de le reconnaître comme Etat juif", a-t-il lancé à destination des téléspectateurs israéliens. "Vous ne l'avez pas demandé à l'Egypte, pas à la Jordanie ni à aucun Etat du monde", a-t-il rappelé » (Note de Michel Garroté : Abbas raconte, je re-cite, encore une fois, les propos, déjà reproduis, ci-dessus : « Il suffit que nous ayons reconnu Israël. Voilà, c'est un Etat juif. Vous pouvez en faire l'Etat que vous voulez, c'est votre droit, mais ne demandez pas de le reconnaître comme Etat juif ». Abbas parle en arabe. La première chaîne de télévision israélienne a traduit les propos d’Abbas par des sous-titres en hébreu. L’AFP a traduit, en français, les propos, tenus en arabe, par Abbas, propos sous-titrés en hébreu. Résultat : Abbas aurait notamment dit « Voilà, c'est un Etat juif ». Mais aussitôt, Abbas aurait ajouté, à l’adresse du peuple juif israélien : « Vous pouvez en faire l'Etat que vous voulez, c'est votre droit, mais ne demandez pas de le reconnaître comme Etat juif ». Soit, il y erreur de traduction. Soit, tout le monde – et pas seulement Abbas – raconte vraiment tout, n’importe quoi et son contraire, le but étant de jouer sur les mots, et, incidemment, de continuer à se foutre littéralement de notre gueule, en s’imaginant, sans doute, que cela ne finira pas, un jour, par avoir des conséquences).
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L’Agence France Presse conclut : « "Tous les jours, vous (les Israéliens) venez avec une nouvelle exigence. Cela suffit" a ironisé M. Abbas, un sourire aux lèvres. Il parlait en arabe, l'interview étant sous-titrée en hébreu. Les négociations directes, relancées le 2 septembre à Washington, après 20 mois de suspension, sont à nouveau interrompues en raison du différend entre Israéliens et Palestiniens au sujet de la poursuite de la colonisation par Israël » (Note de Michel Garroté : 1- l’Agence France Presse conclut en beauté ; car en réalité, ce sont les dirigeants palestiniens qui, tous les jours, viennent avec une nouvelle exigence ; je l’ai démontré, preuves à l’appui, dans les chroniques que j’ai publiées, depuis Jérusalem, entre le 7 septembre et le 7 octobre derniers. 2- L’Agence France Presse, dans sa conclusion, précise : « "Cela suffit" a ironisé M. Abbas, un sourire aux lèvres ». Le sourire ironique, aux lèvres d’Abbas, fait donc sourire, avec ironie, l’AFP, qui s’imagine, peut-être, que cela ne finira pas, un jour, par avoir des conséquences).
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Lien vers la source :
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http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iQKGSBTkfeRCADOo8zqT0yd00B5w?docId=CNG.2af5526021d4fb9e8c9306f1ce8b643b.1111
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Fusions et Acquisitions – L’Agence France Presse rachetée par l’Autorité Palestinienne
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Par Michel Garroté
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Lundi 18 octobre 2010 – 10 Heshvan 5771
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L’Agence France Presse, plus connue sous le nom d’Agence France Palestine (AFP), raconte (cf. le lien vers la source au bas de cet article) que « le président palestinien Mahmoud Abbas a mis en garde contre une montée de l'extrémisme si le processus de paix venait à échouer, lors d'une interview exclusive diffusée dimanche par la télévision publique israélienne » (Note de Michel Garroté : 1- le « président » palestinien Mahmoud Abbas n’est président de rien du tout. 2- « L’Autorité » palestinienne dont Abbas est « président » n’a aucune autorité et elle est financée par les contribuables occidentaux. 3- Sans la présence des Forces de Défense d’Israël en Judée et en Samarie, il y a longtemps que le très corrompu Abbas se serait fait liquider par des éléments du Fatah, de l’OLP, du FPLP ou du Hamas. 4- La mise en garde d’Abbas contre une « montée de l'extrémisme » si le « processus de paix » venait à échouer est une farce ; pendant l’entière durée du moratoire sur les constructions en Judée et en Samarie, Abbas n’a pas voulu négocier ; maintenant que le moratoire est arrivé à échéance, Abbas veut soudain négocier, mais à condition que pas un seul civil juif israélien de Judée et de Samarie ne construise ne serait-ce qu’une chasse d’eau ou une ventilation dans sa maison ; cela s’appelle un processus de guerre et non pas un « processus de paix ». 5- Quant à l’interview d’Abbas diffusée à la télévision israélienne, il s’agit de la première chaîne de télévision israélienne et non pas de « la télévision publique israélienne » ; et la première chaîne de télévision israélienne – certes « publique » officiellement – ne reflète pas pour autant le public israélien et ne reflète pas non plus l’opinion publique israélienne ; pas plus que l’AFP ou le Groupe – public – France Télévisions ne reflètent le public français et l’opinion publique française).
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L’Agence France Presse ajoute : « "Le désespoir alimentera l'extrémisme" a averti le dirigeant palestinien interrogé sur la possibilité d'un échec, tout en déclarant qu'il gardait "de grands espoirs dans les efforts américains" de relancer le dialogue et en écartant l'hypothèse d'une "nouvelle Intifada". Il a répété l'opposition des Palestiniens à négocier sans un gel complet de la colonisation par Israël, soulignant qu'il s'agit là d'une demande avancée par l'ensemble de la communauté internationale, notamment les Etats-Unis et l'Europe, et que les Palestiniens ne pouvaient être en retrait » (Note de Michel Garroté : 1- Abbas-le-Pinocchio ose alléguer – et menacer – que "le désespoir alimentera l'extrémisme" ; pour ce qui me concerne, ayant parlé, lors de mes quatre séjours en Israël, y compris lors de mon dernier séjour, en septembre, avec des arabes israéliens, je peux ici, encore une fois, répéter que le désespoir des Palestiniens vient de la corruption d’Abbas ; et je peux ici, encore une fois, répéter qu’un jour viendra, où le désespoir des Palestiniens, qui vient de la corruption d’Abbas, alimentera certes « l’extrémisme », non pas contre le peuple israélien, mais contre les dirigeants totalitaires, corrompus et extrémistes du Fatah, de l’OLP, du FPLP et du Hamas. 2- Lorsque Abbas parle des « efforts américains », il veut, en fait, parler d’Obama qui est aux abois et non pas parler du peuple américain. 3- Lorsque Abbas parle de « l'ensemble de la communauté internationale, notamment les Etats-Unis et l'Europe », il veut, en fait, parler exclusivement de Messieurs Obama, Moratinos et Kouchner).
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L’Agence France Presse poursuit : « Il (Abbas) a réaffirmé que les Palestiniens n'avaient pas à reconnaître le caractère juif de l'Etat d'Israël vu qu'ils ont déjà reconnu l'Etat. Il a rappelé à ce propos que l'Organisation de Libération de la Palestine (OLP), dont il est à la tête, avait déjà reconnu en 1993 "le droit à l'existence d'Israël" en signant en septembre 1993 les accords d'Oslo de reconnaissance mutuelle. "Il suffit que nous ayons reconnu Israël. Voilà, c'est un Etat juif. Vous pouvez en faire l'Etat que vous voulez, c'est votre droit, mais ne demandez pas de le reconnaître comme Etat juif", a-t-il lancé à destination des téléspectateurs israéliens. "Vous ne l'avez pas demandé à l'Egypte, pas à la Jordanie ni à aucun Etat du monde", a-t-il rappelé » (Note de Michel Garroté : Abbas raconte, je re-cite, encore une fois, les propos, déjà reproduis, ci-dessus : « Il suffit que nous ayons reconnu Israël. Voilà, c'est un Etat juif. Vous pouvez en faire l'Etat que vous voulez, c'est votre droit, mais ne demandez pas de le reconnaître comme Etat juif ». Abbas parle en arabe. La première chaîne de télévision israélienne a traduit les propos d’Abbas par des sous-titres en hébreu. L’AFP a traduit, en français, les propos, tenus en arabe, par Abbas, propos sous-titrés en hébreu. Résultat : Abbas aurait notamment dit « Voilà, c'est un Etat juif ». Mais aussitôt, Abbas aurait ajouté, à l’adresse du peuple juif israélien : « Vous pouvez en faire l'Etat que vous voulez, c'est votre droit, mais ne demandez pas de le reconnaître comme Etat juif ». Soit, il y erreur de traduction. Soit, tout le monde – et pas seulement Abbas – raconte vraiment tout, n’importe quoi et son contraire, le but étant de jouer sur les mots, et, incidemment, de continuer à se foutre littéralement de notre gueule, en s’imaginant, sans doute, que cela ne finira pas, un jour, par avoir des conséquences).
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L’Agence France Presse conclut : « "Tous les jours, vous (les Israéliens) venez avec une nouvelle exigence. Cela suffit" a ironisé M. Abbas, un sourire aux lèvres. Il parlait en arabe, l'interview étant sous-titrée en hébreu. Les négociations directes, relancées le 2 septembre à Washington, après 20 mois de suspension, sont à nouveau interrompues en raison du différend entre Israéliens et Palestiniens au sujet de la poursuite de la colonisation par Israël » (Note de Michel Garroté : 1- l’Agence France Presse conclut en beauté ; car en réalité, ce sont les dirigeants palestiniens qui, tous les jours, viennent avec une nouvelle exigence ; je l’ai démontré, preuves à l’appui, dans les chroniques que j’ai publiées, depuis Jérusalem, entre le 7 septembre et le 7 octobre derniers. 2- L’Agence France Presse, dans sa conclusion, précise : « "Cela suffit" a ironisé M. Abbas, un sourire aux lèvres ». Le sourire ironique, aux lèvres d’Abbas, fait donc sourire, avec ironie, l’AFP, qui s’imagine, peut-être, que cela ne finira pas, un jour, par avoir des conséquences).
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Lien vers la source :
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http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iQKGSBTkfeRCADOo8zqT0yd00B5w?docId=CNG.2af5526021d4fb9e8c9306f1ce8b643b.1111
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