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Miguel Garroté - La future secrétaire d'Etat (Affaires étrangères), Hillary Clinton, déclare aujourd’hui mardi au Sénat américain que la nouvelle administration américaine tenterait d'ouvrir le dialogue avec l'Iran pour tester une nouvelle approche. « Nous allons tenter une nouvelle approche, peut-être différente », déclare Hillary Clinton, interrogée au Sénat sur les plans du futur président Obama pour convaincre l'Iran de renoncer à son programme nucléaire. « Ce en quoi l'administration Obama croit, c'est qu'une attitude en faveur du dialogue pourrait porter ses fruits », raconte-t-elle aux Sénateurs. « Nous n'avons aucune illusion : nous savons que même avec une nouvelle administration cherchant à ouvrir le dialogue pour tenter d'influencer son comportement, il est difficile de prédire le résultat », prévient tout de même Hillary Clinton qui, pendant la campagne électorale, avait contesté le souhait de Obama d'engager un dialogue avec l’Iran sans conditions préalables. « Mais le président élu a promis de suivre cette politique et nous le ferons », conclut-elle. C’est très différent de ce que Obama a raconté hier à la télé. Ils ne se causent pas, Barak et Hillary ?
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Copyright 2009 Miguel Garroté
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Miguel Garroté - La future secrétaire d'Etat (Affaires étrangères), Hillary Clinton, déclare aujourd’hui mardi au Sénat américain que la nouvelle administration américaine tenterait d'ouvrir le dialogue avec l'Iran pour tester une nouvelle approche. « Nous allons tenter une nouvelle approche, peut-être différente », déclare Hillary Clinton, interrogée au Sénat sur les plans du futur président Obama pour convaincre l'Iran de renoncer à son programme nucléaire. « Ce en quoi l'administration Obama croit, c'est qu'une attitude en faveur du dialogue pourrait porter ses fruits », raconte-t-elle aux Sénateurs. « Nous n'avons aucune illusion : nous savons que même avec une nouvelle administration cherchant à ouvrir le dialogue pour tenter d'influencer son comportement, il est difficile de prédire le résultat », prévient tout de même Hillary Clinton qui, pendant la campagne électorale, avait contesté le souhait de Obama d'engager un dialogue avec l’Iran sans conditions préalables. « Mais le président élu a promis de suivre cette politique et nous le ferons », conclut-elle. C’est très différent de ce que Obama a raconté hier à la télé. Ils ne se causent pas, Barak et Hillary ?
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