Israël : ça se complique
Prétextant la situation de deux militants palestiniens, la principale milice armée du Fatah, qui se fait appeler « Brigades des Martyrs d’Al Aqsa », vient d’annoncer qu’elle n’allait plus « honorer » les accords conclus avec Israël. Les Brigades des Martyrs d’Al Aqsa appellent leurs membres à prendre les armes pour lutter contre l’armée israélienne. A Ramallah (Judée-Samarie), les Brigades ont distribué des tracts indiquant : « Nous appelons nos membres qui ont remis leurs armes aux forces de sécurité palestiniennes d’en référer à leurs commandants de milice afin d’obtenir de nouvelles armes ».
Le mois dernier, Israël avait renoncé à poursuivre 270 fugitifs du Fatah. Le tract des Brigades diffusé à Ramallah porte un sérieux coup aux tentatives menées par Mahmoud Abbas afin de démanteler les diverses milices armées liées au Fatah en Judée-Samarie.
Les Brigades ont déclaré qu’elles avaient déjà précédemment mis en garde contre le « complot ourdis » afin de confisquer les armes des Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa en Judée-Samarie. « L’ennemi israélien ne respecte pas les engagements pris », ont ajouté les Brigades. De son côté, le Fatah, la composante politique des diverses milices susmentionnées, a critiqué Salaam Fayad, Premier ministre du gouvernement mis sur pied par l’Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas.
Si le bras armé du Hamas l’a emporté dans la bande de Gaza, la Judée-Samarie reste, pour l’instant, sous contrôle, relatif certes, du Fatah. Cela dit, depuis plus d’un an, ce sont les clans, notamment les clans familiaux, et leurs milices privées, qui contrôlent le terrain, dans la bande de Gaza surtout, mais également en Judée-Samarie. Ces milices privées, comme au Liban, sont tantôt financées de l’extérieur, par l’Iran, par Al-Qaïda, par l’Arabie Saoudite, etc. ; tantôt financées par le trafic d’armes et de drogues. Vue sous cet angle, la situation dans les territoires disputés de Judée-Samarie, est de plus en plus libanaise.
Prétextant la situation de deux militants palestiniens, la principale milice armée du Fatah, qui se fait appeler « Brigades des Martyrs d’Al Aqsa », vient d’annoncer qu’elle n’allait plus « honorer » les accords conclus avec Israël. Les Brigades des Martyrs d’Al Aqsa appellent leurs membres à prendre les armes pour lutter contre l’armée israélienne. A Ramallah (Judée-Samarie), les Brigades ont distribué des tracts indiquant : « Nous appelons nos membres qui ont remis leurs armes aux forces de sécurité palestiniennes d’en référer à leurs commandants de milice afin d’obtenir de nouvelles armes ».
Le mois dernier, Israël avait renoncé à poursuivre 270 fugitifs du Fatah. Le tract des Brigades diffusé à Ramallah porte un sérieux coup aux tentatives menées par Mahmoud Abbas afin de démanteler les diverses milices armées liées au Fatah en Judée-Samarie.
Les Brigades ont déclaré qu’elles avaient déjà précédemment mis en garde contre le « complot ourdis » afin de confisquer les armes des Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa en Judée-Samarie. « L’ennemi israélien ne respecte pas les engagements pris », ont ajouté les Brigades. De son côté, le Fatah, la composante politique des diverses milices susmentionnées, a critiqué Salaam Fayad, Premier ministre du gouvernement mis sur pied par l’Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas.
Si le bras armé du Hamas l’a emporté dans la bande de Gaza, la Judée-Samarie reste, pour l’instant, sous contrôle, relatif certes, du Fatah. Cela dit, depuis plus d’un an, ce sont les clans, notamment les clans familiaux, et leurs milices privées, qui contrôlent le terrain, dans la bande de Gaza surtout, mais également en Judée-Samarie. Ces milices privées, comme au Liban, sont tantôt financées de l’extérieur, par l’Iran, par Al-Qaïda, par l’Arabie Saoudite, etc. ; tantôt financées par le trafic d’armes et de drogues. Vue sous cet angle, la situation dans les territoires disputés de Judée-Samarie, est de plus en plus libanaise.
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