En Libye aussi, Sarko aurait-il merdé ? - Michel Garroté à Tel Aviv

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En Libye aussi, Sarko aurait-il merdé ?

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Michel Garroté à Tel Aviv

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La liste des malentendus et celle des opposants à l'intervention en Libye s'allonge. Les USA limitent leur action et la Ligue arabe se désolidarise. Et puis, que vaut l'intervention en Libye face aux massacres au Yémen, aux couacs de la transition soi-disant démocratique en Tunisie, face à la centaine de blessés due aux tirs dans la foule en Syrie.

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Ligue Arabe aujourd'hui : « Ce qui se passe en Libye diffère de l'objectif d'imposition d'une zone d'exclusion aérienne et ce que nous voulons est la protection des civils et non le bombardement de davantage de civils » (Amr Moussa, secrétaire général de la Ligue arabe : ici).

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« Cette solution doit être conforme à notre attachement au respect de l'unité et de l'intégrité territoriale de la Lybie, ainsi qu'au rejet de toute intervention militaire étrangère, quelle qu'on soit la forme » (président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz : ici).

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Sarkozy passe pour le responsable de l'opération et de son déclenchement (Sarkozy en chef de guerre). Or, les troupes françaises engagées en Libye étaient placées sous commadement américain et restent sous commandement américain (heureusement d’ailleurs). La France n'est que fournisseur de moyens.

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Correspondance de Michel Garroté à Tel Aviv.

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