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mercredi 2 février 2011

En 2050 aura lieu à Nuremberg le procès des nazislamistes - Par Michel Garroté

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Face à l’islam, il serait temps de prendre quelques mesures. Car si les médias francophones continuent de pratiquer le mensonge et l’autisme, l’islam, lui, progresse et révèle, toujours plus, son vrai visage. Celui d’une religion qui, à moins de se réformer de l’intérieur, deviendra incessamment une forme de fascisme religieux à l’échelle planétaire.
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Première mesure : exiger la réciprocité en matière de liberté religieuse. Deuxième mesure : geler les constructions de mosquées en Occident. Troisième mesure : favoriser en Europe l’immigration de Chrétiens d’Orient persécutés et stopper l’immigration de musulmans. Quatrième mesure : déployer des forces multinationales de protection dans les zones en terre d’islam où les Chrétiens font l’objet de massacres.
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Oui, je sais, aucune de ces quatre mesures ne sera prise. Pourtant, les faits reproduits ci-dessous légitiment, à eux seuls, que de telles mesures soient prises. Or, elles ne le seront pas et je le sais aussi bien que vous. Quelle sera la conséquence du refus de prendre ces mesures ? La conséquence, c’est que la guerre contre l’islam va durer plusieurs décennies et qu’elle fera des millions de morts.
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En 2050, aura lieu, à Nuremberg, le procès des nazislamistes et de ceux qui auront collaboré avec eux. Obama et Sarkozy se verront alors (à titre posthume et symbolique) retirer à vie le droit d’être élu et le droit de voter. Des dizaines de dictateurs génocidaires musulmans, laïcs et religieux seront condamnés à perpétuité. Oui, je sais, cette mesure, elle non plus, ne sera jamais prise. Mais venons-en aux faits.
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Le député européen Dominique Souchet, signataire de l'appel des élus du Parlement européen en faveur des Chrétiens d'Orient, est choqué – à juste titre – suite la décision, lâche et aberrante, prise par l'Union européenne de ne pas condamner les atteintes à la liberté religieuse et les persécutions au Moyen-Orient.
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Le député européen Dominique Souchet déclare (extraits) : « Alors que la France (ndmg - mollement), la Hongrie, l'Italie et la Pologne avaient insisté pour que les 27 (ndmg - Etats membres de l’UE) adoptent une déclaration sur les persécutions anti-chrétiennes, notamment en Egypte, l'Union européenne a préféré se réfugier dans la neutralité en ne mentionnant aucune communauté spécifique ni aucun pays en particulier ».
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Dominique Souchet : « Ce silence de l'Union européenne, qui constitue un aveu d'impuissance et de lâcheté, ne peut qu'encourager ceux qui cherchent à déstabiliser les communautés chrétiennes du Moyen-Orient à poursuivre leurs intimidations et leurs attentats. La diplomatie ne consiste pas à refuser de nommer les réalités, mais à les affronter avec courage et intelligence ».
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De son côté, le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini déplore, lui aussi, qu’il n’y a pas eu de déclaration des 27 Etats membres de l’UE sur l'intolérance, la discrimination et la violence fondée sur la religion ou la croyance. Le texte de l’UE montre « un excès de laïcisme », déclare Franco Frattini, qui demande le retrait de ce texte qui « n’inclut aucune mention des Chrétiens, comme si l’on parlait d’autre chose ».
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La Haute Représentante pour la politique étrangère de l’Union européenne, l’ineffable Lady Catherine Ashton allègue que les 27 ministres ont convenu de retirer le projet de texte et de « réfléchir » sur la façon dont l’UE pourrait « s’assurer que nous reconnaissions des communautés particulières ou des religions qui trouvent qu’elles sont persécutées ». Lady Catherine Ashton tient là des propos abjects, notamment lorsqu’elle dit des communautés particulières ou des religions « qui trouvent » qu’elles sont persécutées.
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Suite au refus des 27 Etats membres de l’UE à voter un texte pour défendre les Chrétiens d'Orient, Monseigneur Rino Fisichella, Président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, regrette la polémique à Bruxelles autour de la mention du terme « chrétien » dans un document officiel. Il souligne qu’on ne peut pas balayer d’un revers de main les sentiments de la population.
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Mgr Rino Fisichella s’en prend en particulier à la Haute Représentante pour la politique étrangère de l’Union européenne, Catherine Ashton : « Le contrôle du langage est devenu insupportable et je ne veux plus respecter un langage qui refuse de reconnaître le fait chrétien ».
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De son côté, Marion Chevtzoff, à propos de la christianophobie au Kosovo, signale (extraits) : « Voilà 12 ans que la guerre est terminée et les chrétiens ne peuvent ni sortir de leurs ghettos, ni circuler, ni commercer, ni travailler. Si nous voulons apporter de la nourriture à l’enclave serbe de Zac, nous sommes par exemple contraints de l’acheter en zone albanaise. Pourtant, personne ne semble s’émouvoir de ces discriminations flagrantes ».
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Marion Chevtzoff : « Résultat : en 1999, les Serbes représentaient 12% de la population du Kosovo contre 4% aujourd’hui. Le nettoyage ethnique est en cours. Les Serbes demeurent sous la menace de pogroms comme il s’en est produit en 2004, au cours desquels une trentaine d’églises ont été incendiées, plusieurs villages détruits et dix-sept personnes assassinées, sans que le pouvoir albanais (ndmg - kosovar albanophone) ait procédé à aucune arrestation, ni condamnation ».
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Marion Chevtzoff : « Il faut savoir qu’il y a au Kosovo de nombreux monastères et églises, très ancien : ce sont des joyaux architecturaux de l’école de Raska, qui datent des XIIe, XIIIe et XIVe siècles et font le lien entre le style byzantin et l’architecture romane. Or 150 de ces églises ont été détruites au bulldozer ou dynamitées depuis 1999, dans l’indifférence générale et sans que ce vandalisme émeuve les grands médias. Parallèlement, environ 400 mosquées ont été construites, financées pour beaucoup par l’Arabie saoudite ».
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Monseigneur Thierry Scherrer, évêque de Laval (France) signale : « Depuis plusieurs jours est diffusé sur Internet un clip vidéo annonçant la sortie prochaine d’un film censé valoriser l’art de vivre en Sud Mayenne, plus précisément à Château-Gontier et ses environs. En faisant le choix de manier la dérision pour toucher son public, le réalisateur de ce clip a choqué un grand nombre de mayennais ».
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Monseigneur Thierry Scherrer : « La communauté catholique n’a pas été épargnée : la scène tournée dans une église, en l’absence du curé de la paroisse et sans aucune autorisation de sa part, est une parodie insultante et intolérable de la messe qui constitue une véritable profanation ne pouvant susciter que réprobation et indignation ».
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Monseigneur Thierry Scherrer : « À l’heure où des chrétiens d’Orient paient de leur propre vie leur attachement à la personne du Christ et à l’Eucharistie en se faisant massacrer dans leurs églises, nous déplorons que d’autres, en Occident, offrent le témoignage opposé en se prêtant au jeu de la dérision à l’intérieur même d’une église. Notre pensée rejoint tous les chrétiens qui, légitimement, se sont sentis profondément blessés par un tel outrage ».
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La police pakistanaise a arrêté un lycéen de 17 ans qui aurait, soi-disant, « blasphémé » contre l'islam dans un devoir. Les examinateurs du lycée ont alerté la police, alors que l'élève avait présenté ses excuses. La police a arrêté le garçon samedi dernier et l'a placé en détention.
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Les Chrétiens d'Egypte renoncent à manifester en raison de la récupération des émeutes par les Frères musulmans. Absents lors des premières marches en début de semaine dernière, les Frères musulmans ont appelé à défiler vendredi et s'impliquent désormais activement dans l'encadrement des manifestations.
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Hier mardi, les minibus des Frères musulmans déversaient des flots de manifestants intégristes venus des faubourgs tandis que leurs miliciens contrôlaient les identités à l'entrée du cortège. Pendant que l’Occident s’extasie sur les manifestations contre Moubarak, onze chrétiens coptes égyptiens, dont un enfant de trois ans, ont été assassinés dimanche dans le village de Sharona, situé dans la province d'Al Minya, au sud du Caire.
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Encore une offensive du régime islamiste turc contre les styles de vie jugés inconciliables avec la religion musulmane : il s’agit d’une nouvelle législation entrée en vigueur ce mois de janvier qui durcit les conditions de délivrance de licence pour vendre de l'alcool, qui impose des restrictions à sa commercialisation et qui limite les ventes à certains secteurs bien précis des magasins.
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Des appels à se réunir dans plusieurs grandes villes turques pour prendre l’apéro en public ont été lancés afin de protester contre cette nouvelle réglementation islamiste.
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Michel Garroté
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