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lundi 22 mars 2010

Faut-il brûler Israël ? (15e partie)


Michel Garroté – Voici la 15e partie de ma série « Faut-il brûler Israël ? ». Le premier document nous révèle l’arsenal du Hezbollah malgré l’opération israélienne – insuffisante – sous le gouvernement Olmert l’été 2006 (« Hezbollah - Israël met les points sur les "i" »). Le deuxième document montre la légèreté avec laquelle les démocraties occidentales financent les potentats palestiniens (« 462 millions $ pour les Palestiniens »). Le troisième document essaye de démontrer qu’en 2008 déjà, Israël préférait, concernant l’Iran, les efforts diplomatiques et économiques, mais doutait que cela marche et maintenait ouvertes toutes les options (« ISRAEL - IRAN : doute sur la diplomatie »). J’avais publié ces trois documents une première fois en novembre 2008.
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Lundi 24 novembre 2008

Hezbollah - Israël met les points sur les "i"

Une fois n’est pas coutume, l’AFP informe un petit peu mieux que d’habitude. Du reste, il n’est pas certain que la dépêche AFP ci-après soit reprise par les médias - « La Hezbollah libanais a triplé sa puissance de feu depuis la seconde guerre du Liban en 2006, a affirmé lundi le ministre israélien de la défense Ehud Barak, menaçant l'Etat libanais de représailles en cas d'un nouveau conflit. "La puissance de feu du Hezbollah a triplé depuis la fin de la seconde guerre du Liban. Il possède des missiles qui peuvent atteindre les villes d'Ashkelon, Beersheba et Dimona (sud d'Israël). Le Hezbollah possède aujourd'hui 42.000 missiles", a affirmé M. Barak au Parlement. "L'intégration du Hezbollah dans l'Etat libanais expose le Liban et ses infrastructures à des attaques en profondeur dans l'éventualité d'un futur conflit", a averti M. Barak. L'été 2006, Israël a mené une guerre au Liban contre le Hezbollah après la capture de deux de ses soldats par la milice chiite dans une attaque près de la frontière. Durant ce conflit du 12 juillet au 14 août, quelque 4000 roquettes ont été tirées sur le nord d'Israël, forçant un million de personnes à se terrer dans des abris ou à fuir vers le sud du pays. M. Barak a réaffirmé, par ailleurs, sa position en faveur du maintien de la trêve à Gaza avec les islamistes du Hamas qui contrôlent ce territoire.

"Je ne regrette aucun des mois d'accalmie" écoulés depuis cette trêve, a déclaré M. Barak évoquant la situation dans le secteur sud d'Israël proche de la frontière avec la bande de Gaza. M. Barak a fait valoir que "dans les mois qui ont précédé l'entrée en vigueur de la trêve on enregistrait jusqu'à 500 tirs de roquettes et mortiers par mois contre le sud d'Israël contre une dizaine de tirs par mois depuis la trêve". "A tous les va-t-en guerre je dis : ce n'est pas vous qui m'apprendrez quoi que ce soit, sur la guerre, la paix et mes responsabilités", a poursuivi le ministre, général de réserve et ancien chef d'état-major. "Je suis ministre de la Défense et non ministre de la guerre et ma tâche consiste à assurer tant que possible le maximum de sécurité pour les citoyens d'Israël", a-t-il déclaré. "Toutefois, si une opération préventive devait s'avérer nécessaire, l'armée agira", a souligné le ministre rejetant les appels de l'opposition de droite pour une opération d'envergure à Gaza pour mettre fin aux attaques contre le territoire israélien. La trêve avec le Hamas conclue par l'entremise de l'Egypte est en vigueur depuis le 19 juin pour une période de sept mois jusqu'au 19 décembre. Elle est secouée depuis le 5 novembre par une brusque flambée de la violence » (Fin de la dépêche AFP).


Mercredi 26 novembre 2008

462 millions $ pour les Palestiniens

On apprend aujourd’hui mercredi 26 novembre 2008, que l'ONU et les ONG ont le toupet de réclamer une nouvelle aide astronomique de 462 millions de dollars « pour les Palestiniens ». Lors d'une conférence de presse à Jérusalem, informe Guysen International News, plusieurs agences onusiennes et ONG « humanitaires » ont fait appel à la « générosité » des pays donateurs pour financer « des programmes d'assistance » en Judée-Samarie et à Gaza en 2009. Or, les contribuables des pays occidentaux financent - à coups de milliards de dollars depuis soixante ans - le chaos intra-palestinien. Et voici que l’ONU et les ONG (Ovnis Non Gérés) - en pleine crise financière - réclament sans sourciller, une nième aide colossale, sur le dos et sans l’avis des contribuables européens et américains. Il serait temps de soumettre l’aide aux Palestiniens à référendum afin de respecter la volonté populaire dans les démocraties occidentales. Depuis soixante ans, les contribuables occidentaux financent à coups de milliards de dollars des institutions palestiniennes dont le seul savoir-faire est de ne toujours pas reconnaître l’Etat d’Israël et de financer la corruption et le terrorisme.

Quant aux ONG, véritables Ovnis Non Gérés, elles entretiennent des bénévoles rémunérés dont le seul point commun est la haine de l’Etat juif conjuguée au virus de la palestinite aiguë. Que l’on commence par financer d’urgence le gîte et le couvert de nos SDF durant cet hiver. L’ONU et les ONG, on en reparlera au printemps 2009. Depuis le temps que ça dure, il n’y a plus aucune urgence en la matière. Alors que chez nous certains SDF sont sur le point de crever de faim et de froid. Y’en a marre de financer mon lointain et d’ignorer mon prochain.

Post Scriptum : de 1948 à 2010, 700 milliards de $ ont été versés aux Palestiniens, selon Guy Millière et Albert Soued.


Mercredi 26 novembre 2008

ISRAEL - IRAN : doute sur la diplomatie

Les agences rapportent que le Premier ministre israélien Ehud Olmert, en visite aux USA, a déclaré, hier mardi 25 novembre 2008, qu’Israël n'avait jamais reçu de conseil de la part des USA pour être restreint dans le choix d'action contre le problème nucléaire iranien. « Il existe une compréhension fondamentale et profonde sur la menace de l'Iran et la nécessité d'agir pour éliminer cette menace », a dit Olmert aux journalistes après avoir rencontré George W. Bush, le vice-président Dick Cheney et la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice. « Je ne peux pas me rappeler si quelqu'un de l'administration (américaine), y compris ces derniers jours, m'a conseillé (...) de ne pas prendre des actions que nous jugeons nécessaires pour la sécurité fondamentale de l'Etat d'Israël et cela comprend l'Iran », a déclaré Olmert. Le gouvernement israélien soutient qu'il ne peut pas tolérer un Iran nucléaire, estimant que pour le moment, Israël préfère les efforts diplomatiques et économiques (...) mais il doute que cela marche et maintient ouvertes toutes les options.
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