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Michel Garroté
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Lundi 29 juin 2009
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Beyrouth-sur-Seine - Hier soir dimanche 28 juin on pouvait lire - ça et là sur le wire - qu’une patrouille de police a été attaquée dans la nuit de samedi à dimanche par des « jeunes gens » qui ont envoyé contre elle des projectiles et des fumigènes tirés avec des mortiers. La police était arrivée sur les lieux parce que les « jeunes » étaient en train d'utiliser ces mortiers. Les « jeunes » ont alors dirigé les mortiers vers la police, envoyant des projectiles. Des tirs ont atteint, sur la façade d’un immeuble, un balcon où étaient stockées des matières inflammables, ce qui a provoqué un incendie. Les mortiers utilisés servent normalement à lancer des feux d'artifice, mais lancés à tir tendu en visant des personnes, ils s'avèrent très dangereux. Les « jeunes » se sont retrouvés une cinquantaine puis une centaine face aux policiers, qui ont appelé des renforts. Les agresseurs - approvisionnés en munitions par des camarades à scooter - étaient très bien organisés, leur but étant de s’en prendre délibérément à des fonctionnaires de police. Les affrontements ont duré assez longtemps avant que le calme ne revienne et que des renforts policiers soient déployés sur place. Ces événements se sont déroulés non pas au Liban mais en France, plus précisément en Seine-Saint-Denis.
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Liban : terreur et corruption - A propos de « jeunes » justement, aujourd’hui lundi 29 juin 2009, Euronews informe : « Des tirs ont éclaté hier dans les rues de la capitale libanaise entre des partisans du chef de la majorité parlementaire antisyrienne, Saad Hariri et ceux du mouvement chiite Amal. Lors de ces affrontements, une femme de trente ans a été tuée, victime d’une balle perdue. Ces incidents, qualifiés d’isolés par l’armée, interviennent au lendemain de la nomination, par le président libanais Michel Sleimane, de Saad Hariri, au poste de Premier ministre (ndmg : on aurait pu ici préciser que Nabih Berri, chef du groupe chiite Amal est Président du Parlement libanais). Ce dernier, fils de l’ancien Premier ministre assassiné Rafic Hariri, remplace son allié Fouad Siniora, qui dirigeait le gouvernement libanais depuis 2005 et il s’est engagé à tout faire pour rassembler les différentes forces libanaises, y compris le Hezbollah, dans un gouvernement d’union nationale ». A noter que la corruption joue un rôle déterminant dans la politique au Liban depuis des décennies, avec notamment l’argent syrien, saoudien et surtout iranien.
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Le syndrome d’Al Capone - A propos de corruption justement, aujourd’hui lundi 29 juin, Sébastien Castellion sur Metula News Agency, dans un article intitulé « Corruption : quand Chicago débarque à Washington », écrit notamment (extraits) : « Les déficits de Bush, à 3 % du PIB américain, étaient un danger pour l’économie ; ceux d’Obama, à 13 % en 2009, et lancés sur une tendance de plus 10 % chaque année pour la prochaine décennie, sont la preuve du génie économique du nouveau Président. Les marchés perdent confiance dans le dollar, font baisser sa valeur, exigent une prime de risque de plus de 1,5 % et parlent, de plus en plus sérieusement, de mettre fin à son rôle de réserve mondiale. Tout cela est parfois évoqué, mais comme si c’étaient des événements extérieurs inéluctables et non une rupture toute récente, datant du premier budget Obama ».
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« Enfin, personne ne semble vouloir tirer profit – comme cela aurait certainement été fait sous un autre président – de l’effet comique de la farce à répétition dite ‘ouverture à l’Iran’ : un président multipliant pendant de longs mois les demandes de rendez-vous avec les mollahs et se faisant à chaque fois rabrouer. (…) Le Président, comme la plupart de ses principaux collaborateurs, vient de Chicago dans l’Illinois – la ville dont la culture politique est probablement la plus corrompue de tous les États-unis. Trois anciens gouverneurs de l’Illinois, depuis quarante ans (Otto Kerner, Daniel Walker et George Ryan) ont fait de la prison pour corruption ; un quatrième, Rod Blagojevich, a été arrêté en décembre dernier pour avoir cherché à vendre au plus offrant le siège de Sénateur de Barack Obama, devenu vacant après l’élection de celui-ci à la Présidence ».
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« En 2002, Barack Obama, alors Sénateur de l’Illinois, avait été l’un des plus fermes soutiens de Blagojevich dans la course pour le siège de gouverneur. La municipalité de Chicago est tenue, depuis 1989, par le maire Richard M. Daley, fils de Richard J. Daley, qui fut maire de 1955 à 1976. La machine politique Démocrate, toute-puissante dans la ville, y est connue dans tous les États-unis pour sa propension à acheter les votes, à attribuer les marchés publics aux amis et « donateurs » politiques, et à multiplier les emplois publics fictifs. Tel est le milieu où le Président Obama a fait toute sa carrière jusqu’à son élection à la présidence. Au cours de cette carrière, il ne s’est jamais opposé à un système auquel il doit tout » (fin des extraits de l’article de Sébastien Castellion sur Metula News Agency).
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Les mollahs intégristes louvoient - L'instance électorale suprême d’Iran entame un recomptage partiel des suffrages de la présidentielle fortement entachée de fraudes. Le recomptage porte sur 10% des votes. Ahmadinejad a été réélu le 12 juin avec une écrasante majorité des voix, digne d’une élection soviétique. Par ailleurs, la commission spéciale pour un recompte partiel de la présidentielle iranienne, commission créée par le Conseil des gardiens de la constitution, examine une proposition du « chef de l’opposition » (terme douteux étant donné le passé collaborationniste et sanglant du « chef de l’opposition » en question) Mir Hossein Mousavi pour trouver une issue à la crise. Mousavi exige l’établissement d’une commission « indépendante » pour examiner tout le processus électoral. Dans le cas contraire, il juge nécessaire l’annulation du scrutin et l’organisation d’une nouvelle présidentielle, ce que l’homme clé du pouvoir théocratique iranien, l’ayatollah Khamenei refuse. Pour mémoire, Mousavi a été lancé par le régime dans la course présidentielle avec pour objectif initial de d’affaiblir l’opposition, la vraie. Aux dernières nouvelles, on apprend qu’une réunion entre, d’une part, la commission spéciale pour un recompte partiel des voix, et d’autre part, des représentants de Mousavi n'a pas trouvé une issue à la crise.
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Soixante caravanes menacent la paix mondiale - C’est une gravissime menace pour la paix mondiale et donc pour l’avenir de l’humanité toute entière. Et la ‘Une’ des médias en fait tout un plat. Voici de quoi il s’agit : les autorités israéliennes annoncent aujourd’hui lundi 29 juin avoir donné leur feu vert à la construction de 50 (cinquante) logements dans la communauté israélienne d’Adam en Judée Samarie. Cette décision a été prise pour permettre aux Israéliens installés à Migron de déménager à Adam. Migron, construite sans l'aval des autorités, compte 200 habitants qui logent notamment dans une soixantaine de caravanes. Concrètement, ce sont donc la soixantaine de caravanes de Migron et leurs 200 habitants (sur le point de déménager à Adam) qui constituent une gravissime menace pour la paix mondiale et donc pour l’avenir de l’humanité toute entière.
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Les chenilles de la paix - La Russie entame aujourd’hui lundi 29 juin d’importantes manoeuvres militaires engageant 8.500 soldats près de la frontière avec la Géorgie, théâtre d’une guerre entre la Russie et la Géorgie en août 2008. 8.500 hommes, 200 chars, 450 blindés et 250 pièces d'artillerie participent à ces manoeuvres. Des troupes russes basées en Ossétie du Sud et en Abkhazie, deux régions géorgiennes annexées de fait par la Russie, participent à ces manoeuvres militaires. Ces manoeuvres ne représentent pas une menace pour la paix mondiale, contrairement à la soixantaine de caravanes civiles israéliennes qui déménagent de Migron à Adam.
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Le virus de Caracas - Feuilleton bouffon en Amérique latine. Le président du Honduras Manuel Zelaya est expulsé au Costa Rica. Hugo Chávez, président dictateur du Vénézuéla, et allié de Manuel Zelaya, menace d’intervenir militairement pour rétablir Manuel Zelaya au pouvoir au Honduras, rien que ça. En effet, le cynocéphale rouge brun de Caracas ne supporte pas l’expulsion de Manuel Zelaya, un de ses alliés. Et il met ses troupes en état d'alerte. Or, l’expulsion de Manuel Zelaya n’est pas un coup d’Etat. En effet, dimanche la Cour suprême du Honduras demande à l'armée de déposer le président Manuel Zelaya. Tandis que la date du prochain scrutin présidentiel est confirmée pour le 29 novembre.
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L’expulsion de Manuel Zelaya intervient le jour où les électeurs honduriens sont convoqués pour une révision de la Constitution devant permettre à Manuel Zelaya de briguer un deuxième mandat, ce qui est interdit par l’actuelle Constitution du Honduras. En 2006, Manuel Zelaya a été élu pour quatre ans non renouvelables. Depuis, Manuel Zelaya a s’est lancé dans un virage à 180° à gauche et s’est rapproché d’Hugo Chávez et du président bolivien de gauche Evo Morales. Hugo Chavez est l’artisan d’un nouvel axe rouge brun - soi-disant « bolivarien », en réalité raciste envers les Américains et les Juifs - qui outre le Vénézuéla, regroupe le Honduras, le Nicaragua, l’Equateur et la Bolivie.
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De plus, Hugo Chavez soutient de façon inconditionnelle la dictature théocratique iranienne et son président frauduleusement élu, Mahmoud Ahmadinejad. Enfin, Hugo Chavez a autorisé l’ouverture d’un bureau du groupe terroriste Hezbollah au Vénézuéla. Le Hezbollah qui entretient notamment des relations avec les narcoterroristes colombiens des Farc. Ce nouvel axe rouge brun latino-américain sous la férule de Hugo Chavez ne représente pas une menace pour la paix mondiale, contrairement à la soixantaine de caravanes civiles israéliennes qui déménagent de Migron à Adam.
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Michel Garroté
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Michel Garroté
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Lundi 29 juin 2009
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Beyrouth-sur-Seine - Hier soir dimanche 28 juin on pouvait lire - ça et là sur le wire - qu’une patrouille de police a été attaquée dans la nuit de samedi à dimanche par des « jeunes gens » qui ont envoyé contre elle des projectiles et des fumigènes tirés avec des mortiers. La police était arrivée sur les lieux parce que les « jeunes » étaient en train d'utiliser ces mortiers. Les « jeunes » ont alors dirigé les mortiers vers la police, envoyant des projectiles. Des tirs ont atteint, sur la façade d’un immeuble, un balcon où étaient stockées des matières inflammables, ce qui a provoqué un incendie. Les mortiers utilisés servent normalement à lancer des feux d'artifice, mais lancés à tir tendu en visant des personnes, ils s'avèrent très dangereux. Les « jeunes » se sont retrouvés une cinquantaine puis une centaine face aux policiers, qui ont appelé des renforts. Les agresseurs - approvisionnés en munitions par des camarades à scooter - étaient très bien organisés, leur but étant de s’en prendre délibérément à des fonctionnaires de police. Les affrontements ont duré assez longtemps avant que le calme ne revienne et que des renforts policiers soient déployés sur place. Ces événements se sont déroulés non pas au Liban mais en France, plus précisément en Seine-Saint-Denis.
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Liban : terreur et corruption - A propos de « jeunes » justement, aujourd’hui lundi 29 juin 2009, Euronews informe : « Des tirs ont éclaté hier dans les rues de la capitale libanaise entre des partisans du chef de la majorité parlementaire antisyrienne, Saad Hariri et ceux du mouvement chiite Amal. Lors de ces affrontements, une femme de trente ans a été tuée, victime d’une balle perdue. Ces incidents, qualifiés d’isolés par l’armée, interviennent au lendemain de la nomination, par le président libanais Michel Sleimane, de Saad Hariri, au poste de Premier ministre (ndmg : on aurait pu ici préciser que Nabih Berri, chef du groupe chiite Amal est Président du Parlement libanais). Ce dernier, fils de l’ancien Premier ministre assassiné Rafic Hariri, remplace son allié Fouad Siniora, qui dirigeait le gouvernement libanais depuis 2005 et il s’est engagé à tout faire pour rassembler les différentes forces libanaises, y compris le Hezbollah, dans un gouvernement d’union nationale ». A noter que la corruption joue un rôle déterminant dans la politique au Liban depuis des décennies, avec notamment l’argent syrien, saoudien et surtout iranien.
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Le syndrome d’Al Capone - A propos de corruption justement, aujourd’hui lundi 29 juin, Sébastien Castellion sur Metula News Agency, dans un article intitulé « Corruption : quand Chicago débarque à Washington », écrit notamment (extraits) : « Les déficits de Bush, à 3 % du PIB américain, étaient un danger pour l’économie ; ceux d’Obama, à 13 % en 2009, et lancés sur une tendance de plus 10 % chaque année pour la prochaine décennie, sont la preuve du génie économique du nouveau Président. Les marchés perdent confiance dans le dollar, font baisser sa valeur, exigent une prime de risque de plus de 1,5 % et parlent, de plus en plus sérieusement, de mettre fin à son rôle de réserve mondiale. Tout cela est parfois évoqué, mais comme si c’étaient des événements extérieurs inéluctables et non une rupture toute récente, datant du premier budget Obama ».
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« Enfin, personne ne semble vouloir tirer profit – comme cela aurait certainement été fait sous un autre président – de l’effet comique de la farce à répétition dite ‘ouverture à l’Iran’ : un président multipliant pendant de longs mois les demandes de rendez-vous avec les mollahs et se faisant à chaque fois rabrouer. (…) Le Président, comme la plupart de ses principaux collaborateurs, vient de Chicago dans l’Illinois – la ville dont la culture politique est probablement la plus corrompue de tous les États-unis. Trois anciens gouverneurs de l’Illinois, depuis quarante ans (Otto Kerner, Daniel Walker et George Ryan) ont fait de la prison pour corruption ; un quatrième, Rod Blagojevich, a été arrêté en décembre dernier pour avoir cherché à vendre au plus offrant le siège de Sénateur de Barack Obama, devenu vacant après l’élection de celui-ci à la Présidence ».
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« En 2002, Barack Obama, alors Sénateur de l’Illinois, avait été l’un des plus fermes soutiens de Blagojevich dans la course pour le siège de gouverneur. La municipalité de Chicago est tenue, depuis 1989, par le maire Richard M. Daley, fils de Richard J. Daley, qui fut maire de 1955 à 1976. La machine politique Démocrate, toute-puissante dans la ville, y est connue dans tous les États-unis pour sa propension à acheter les votes, à attribuer les marchés publics aux amis et « donateurs » politiques, et à multiplier les emplois publics fictifs. Tel est le milieu où le Président Obama a fait toute sa carrière jusqu’à son élection à la présidence. Au cours de cette carrière, il ne s’est jamais opposé à un système auquel il doit tout » (fin des extraits de l’article de Sébastien Castellion sur Metula News Agency).
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Les mollahs intégristes louvoient - L'instance électorale suprême d’Iran entame un recomptage partiel des suffrages de la présidentielle fortement entachée de fraudes. Le recomptage porte sur 10% des votes. Ahmadinejad a été réélu le 12 juin avec une écrasante majorité des voix, digne d’une élection soviétique. Par ailleurs, la commission spéciale pour un recompte partiel de la présidentielle iranienne, commission créée par le Conseil des gardiens de la constitution, examine une proposition du « chef de l’opposition » (terme douteux étant donné le passé collaborationniste et sanglant du « chef de l’opposition » en question) Mir Hossein Mousavi pour trouver une issue à la crise. Mousavi exige l’établissement d’une commission « indépendante » pour examiner tout le processus électoral. Dans le cas contraire, il juge nécessaire l’annulation du scrutin et l’organisation d’une nouvelle présidentielle, ce que l’homme clé du pouvoir théocratique iranien, l’ayatollah Khamenei refuse. Pour mémoire, Mousavi a été lancé par le régime dans la course présidentielle avec pour objectif initial de d’affaiblir l’opposition, la vraie. Aux dernières nouvelles, on apprend qu’une réunion entre, d’une part, la commission spéciale pour un recompte partiel des voix, et d’autre part, des représentants de Mousavi n'a pas trouvé une issue à la crise.
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Soixante caravanes menacent la paix mondiale - C’est une gravissime menace pour la paix mondiale et donc pour l’avenir de l’humanité toute entière. Et la ‘Une’ des médias en fait tout un plat. Voici de quoi il s’agit : les autorités israéliennes annoncent aujourd’hui lundi 29 juin avoir donné leur feu vert à la construction de 50 (cinquante) logements dans la communauté israélienne d’Adam en Judée Samarie. Cette décision a été prise pour permettre aux Israéliens installés à Migron de déménager à Adam. Migron, construite sans l'aval des autorités, compte 200 habitants qui logent notamment dans une soixantaine de caravanes. Concrètement, ce sont donc la soixantaine de caravanes de Migron et leurs 200 habitants (sur le point de déménager à Adam) qui constituent une gravissime menace pour la paix mondiale et donc pour l’avenir de l’humanité toute entière.
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Les chenilles de la paix - La Russie entame aujourd’hui lundi 29 juin d’importantes manoeuvres militaires engageant 8.500 soldats près de la frontière avec la Géorgie, théâtre d’une guerre entre la Russie et la Géorgie en août 2008. 8.500 hommes, 200 chars, 450 blindés et 250 pièces d'artillerie participent à ces manoeuvres. Des troupes russes basées en Ossétie du Sud et en Abkhazie, deux régions géorgiennes annexées de fait par la Russie, participent à ces manoeuvres militaires. Ces manoeuvres ne représentent pas une menace pour la paix mondiale, contrairement à la soixantaine de caravanes civiles israéliennes qui déménagent de Migron à Adam.
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Le virus de Caracas - Feuilleton bouffon en Amérique latine. Le président du Honduras Manuel Zelaya est expulsé au Costa Rica. Hugo Chávez, président dictateur du Vénézuéla, et allié de Manuel Zelaya, menace d’intervenir militairement pour rétablir Manuel Zelaya au pouvoir au Honduras, rien que ça. En effet, le cynocéphale rouge brun de Caracas ne supporte pas l’expulsion de Manuel Zelaya, un de ses alliés. Et il met ses troupes en état d'alerte. Or, l’expulsion de Manuel Zelaya n’est pas un coup d’Etat. En effet, dimanche la Cour suprême du Honduras demande à l'armée de déposer le président Manuel Zelaya. Tandis que la date du prochain scrutin présidentiel est confirmée pour le 29 novembre.
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L’expulsion de Manuel Zelaya intervient le jour où les électeurs honduriens sont convoqués pour une révision de la Constitution devant permettre à Manuel Zelaya de briguer un deuxième mandat, ce qui est interdit par l’actuelle Constitution du Honduras. En 2006, Manuel Zelaya a été élu pour quatre ans non renouvelables. Depuis, Manuel Zelaya a s’est lancé dans un virage à 180° à gauche et s’est rapproché d’Hugo Chávez et du président bolivien de gauche Evo Morales. Hugo Chavez est l’artisan d’un nouvel axe rouge brun - soi-disant « bolivarien », en réalité raciste envers les Américains et les Juifs - qui outre le Vénézuéla, regroupe le Honduras, le Nicaragua, l’Equateur et la Bolivie.
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De plus, Hugo Chavez soutient de façon inconditionnelle la dictature théocratique iranienne et son président frauduleusement élu, Mahmoud Ahmadinejad. Enfin, Hugo Chavez a autorisé l’ouverture d’un bureau du groupe terroriste Hezbollah au Vénézuéla. Le Hezbollah qui entretient notamment des relations avec les narcoterroristes colombiens des Farc. Ce nouvel axe rouge brun latino-américain sous la férule de Hugo Chavez ne représente pas une menace pour la paix mondiale, contrairement à la soixantaine de caravanes civiles israéliennes qui déménagent de Migron à Adam.
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