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Michel Garroté – Vendredi 1er mai 2009 – Je lis ça et là sur la blogosphère catholique (oui, je sais, c’est un péché) que dans une lettre écrite en prison et publiée en Italie, le Turc Mehmet Ali Ağca (qui avait tenté d'assassiner Jean-Paul II) déclare être devenu catholique et, plus concrètement, s'être converti au catholicisme le 13 mai 2007 (soit 26 années - jour pour jour - après avoir tenté d’assassiner Jean-Paul II). Mehmet Ali Ağca écrit notamment dans sa lettre : « (…) le 13 mai 2007 j'ai décidé d'abjurer la foi musulmane et de devenir un fidèle de l'Église catholique romaine. (...) J'ai décidé de retourner pacifiquement sur la place (ndlr : Saint-Pierre à Rome) et de témoigner devant le monde entier de ma conversion au catholicisme. (...) Je voudrais, seulement pour un jour, retourner à Rome prier sur la tombe de Jean Paul II pour lui exprimer toute ma reconnaissance filiale pour son pardon ». Quatre jours après l'attentat contre lui, le Jean-Paul II avait en effet dit lors de l'Angélus : « Priez pour ce frère qui m'a tiré dessus et que j'ai déjà pardonné ».
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Copyright Michel Garroté http://monde-info.blogspot.com
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Michel Garroté – Vendredi 1er mai 2009 – Je lis ça et là sur la blogosphère catholique (oui, je sais, c’est un péché) que dans une lettre écrite en prison et publiée en Italie, le Turc Mehmet Ali Ağca (qui avait tenté d'assassiner Jean-Paul II) déclare être devenu catholique et, plus concrètement, s'être converti au catholicisme le 13 mai 2007 (soit 26 années - jour pour jour - après avoir tenté d’assassiner Jean-Paul II). Mehmet Ali Ağca écrit notamment dans sa lettre : « (…) le 13 mai 2007 j'ai décidé d'abjurer la foi musulmane et de devenir un fidèle de l'Église catholique romaine. (...) J'ai décidé de retourner pacifiquement sur la place (ndlr : Saint-Pierre à Rome) et de témoigner devant le monde entier de ma conversion au catholicisme. (...) Je voudrais, seulement pour un jour, retourner à Rome prier sur la tombe de Jean Paul II pour lui exprimer toute ma reconnaissance filiale pour son pardon ». Quatre jours après l'attentat contre lui, le Jean-Paul II avait en effet dit lors de l'Angélus : « Priez pour ce frère qui m'a tiré dessus et que j'ai déjà pardonné ».
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