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Par Miguel Garroté - Tandis que les autorités israéliennes s’inquiètent de la politique à venir des USA envers l’Iran, le jihad islamique, lui, devient de plus en plus menaçant, y compris en France, où l’Institut national des hautes études de sécurité vient de tirer la sonnette d’alarme. A l’heure où la caste obamo-gauchiste éructe et jubile, les réseaux islamistes, eux, fourbissent leurs armes. Et l’Iran continue de nous menacer, de nous narguer et de nous provoquer. Tout cela jusqu’où et jusqu’à quand ?
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Le Ministre israélien de la Défense Ehud Barak appelle aujourd’hui vendredi 7 novembre 2008 les USA à ne pas exclure le recours à l'option militaire contre le programme nucléaire iranien. En effet, suite à une rencontre à Jérusalem avec la Secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice, Barak déclare : « Ce que nous pensons nous l'avons déjà dit. Nous n'écartons aucune option. Nous recommandons aux autres de ne renoncer à aucune option. Nous sommes convaincus que l'Iran continue d'agir pour obtenir une arme nucléaire et continue à tromper le monde en menant des négociations sur le contrôle de cet armement. Je pense que les dirigeants du monde libre qui voient ces choses doivent les reconnaître et les prendre en compte lorsqu'ils décideront des mesures à prendre ». Obama quant à lui envisage un dialogue avec l'Iran.
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La cheffe du parti centriste Kadima, également Ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, a de son côté évoqué hier jeudi les possibles divergences avec Obama sur le nucléaire iranien et déclaré : « Il est possible que nous ayons quelques points de désaccord en ce qui concerne le traitement de la question de comment empêcher l'Iran d'accéder à l'arme nucléaire. Je considère problématique un dialogue préliminaire (ndmg : avec l’Iran) à un moment où l'Iran pense que le monde a baissé les bras sur la question des sanctions. Un dialogue à ce stade pourrait être interprété comme une marque de faiblesse ». Israël considère à juste titre l'Iran comme la menace la plus dangereuse à son encontre en raison de l'accélération de son programme nucléaire et en raison des déclarations répétées des dirigeants iraniens annonçant la destruction imminente d’Israël.
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Malgré tout cela, nos médias utilisent un jargon minimal, écrivant que les Occidentaux et Israël « soupçonnent » l'Iran de « chercher à » se doter de l'arme atomique, et les mêmes médias précisent toujours « ce que Téhéran, soumis à des sanctions de l'ONU, dément ». Le clown halluciné Ahmadinejad a pour sa part « félicité » hier jeudi Obama tout en lui demandant un « changement radical » de la politique des USA. Le fait est que le jargon minimal de nos médias ne change rien à la réalité du péril islamique, comme en témoigne la dernière étude de l’Institut national des hautes études de sécurité, étude alarmante présentée ci-dessous.
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En effet, Jean-Marc Leclerc sur http://www.lefigaro.fr aujourd’hui vendredi 7 novembre 2008 signale que le djihadisme sur Internet a pris des proportions industrielles et qu’il menace sérieusement la France. Dans ses derniers Cahiers de la sécurité, consacrés à la criminalité numérique, l’Institut national des hautes études de sécurité (Inhes) étudie le problème. Une multitude de sites Internet appellent à la guerre sainte et les méthodes utilisées ont évolué ce qui inquiète les autorités : agences de communication ; traduction de l'arabe en langues occidentales ; et forums de discussions.
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Les consignes pour un passage à l'acte sur les sites islamiques sont explicites : « Nous vous recommandons des cibles faciles au début (…) Par exemple, (…) en Algérie, les Français (…). Pour les cibles humaines, après les juifs, les chrétiens seront classés dans l'ordre suivant : Américains, Britanniques, Espagnols, Australiens, Canadiens et Italiens ». Les chercheurs de l’Inhes soulignent l'existence de formations à distance : « Il existe aussi sur Internet des sites proposant des formations à la guérilla, urbaine notamment, comme certaines revues au format PDF, à la fabrication d'explosifs à partir de composants du commerce, au maniement des armes à feu ». Après l'arrestation de membres de la filière irakienne de Montpellier, les modérateurs des forums extrémistes ont invité leurs frères internautes à plus de prudence dans l'évocation de leurs projets.
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© Miguel Garroté
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Par Miguel Garroté - Tandis que les autorités israéliennes s’inquiètent de la politique à venir des USA envers l’Iran, le jihad islamique, lui, devient de plus en plus menaçant, y compris en France, où l’Institut national des hautes études de sécurité vient de tirer la sonnette d’alarme. A l’heure où la caste obamo-gauchiste éructe et jubile, les réseaux islamistes, eux, fourbissent leurs armes. Et l’Iran continue de nous menacer, de nous narguer et de nous provoquer. Tout cela jusqu’où et jusqu’à quand ?
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Le Ministre israélien de la Défense Ehud Barak appelle aujourd’hui vendredi 7 novembre 2008 les USA à ne pas exclure le recours à l'option militaire contre le programme nucléaire iranien. En effet, suite à une rencontre à Jérusalem avec la Secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice, Barak déclare : « Ce que nous pensons nous l'avons déjà dit. Nous n'écartons aucune option. Nous recommandons aux autres de ne renoncer à aucune option. Nous sommes convaincus que l'Iran continue d'agir pour obtenir une arme nucléaire et continue à tromper le monde en menant des négociations sur le contrôle de cet armement. Je pense que les dirigeants du monde libre qui voient ces choses doivent les reconnaître et les prendre en compte lorsqu'ils décideront des mesures à prendre ». Obama quant à lui envisage un dialogue avec l'Iran.
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La cheffe du parti centriste Kadima, également Ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, a de son côté évoqué hier jeudi les possibles divergences avec Obama sur le nucléaire iranien et déclaré : « Il est possible que nous ayons quelques points de désaccord en ce qui concerne le traitement de la question de comment empêcher l'Iran d'accéder à l'arme nucléaire. Je considère problématique un dialogue préliminaire (ndmg : avec l’Iran) à un moment où l'Iran pense que le monde a baissé les bras sur la question des sanctions. Un dialogue à ce stade pourrait être interprété comme une marque de faiblesse ». Israël considère à juste titre l'Iran comme la menace la plus dangereuse à son encontre en raison de l'accélération de son programme nucléaire et en raison des déclarations répétées des dirigeants iraniens annonçant la destruction imminente d’Israël.
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Malgré tout cela, nos médias utilisent un jargon minimal, écrivant que les Occidentaux et Israël « soupçonnent » l'Iran de « chercher à » se doter de l'arme atomique, et les mêmes médias précisent toujours « ce que Téhéran, soumis à des sanctions de l'ONU, dément ». Le clown halluciné Ahmadinejad a pour sa part « félicité » hier jeudi Obama tout en lui demandant un « changement radical » de la politique des USA. Le fait est que le jargon minimal de nos médias ne change rien à la réalité du péril islamique, comme en témoigne la dernière étude de l’Institut national des hautes études de sécurité, étude alarmante présentée ci-dessous.
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En effet, Jean-Marc Leclerc sur http://www.lefigaro.fr aujourd’hui vendredi 7 novembre 2008 signale que le djihadisme sur Internet a pris des proportions industrielles et qu’il menace sérieusement la France. Dans ses derniers Cahiers de la sécurité, consacrés à la criminalité numérique, l’Institut national des hautes études de sécurité (Inhes) étudie le problème. Une multitude de sites Internet appellent à la guerre sainte et les méthodes utilisées ont évolué ce qui inquiète les autorités : agences de communication ; traduction de l'arabe en langues occidentales ; et forums de discussions.
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Les consignes pour un passage à l'acte sur les sites islamiques sont explicites : « Nous vous recommandons des cibles faciles au début (…) Par exemple, (…) en Algérie, les Français (…). Pour les cibles humaines, après les juifs, les chrétiens seront classés dans l'ordre suivant : Américains, Britanniques, Espagnols, Australiens, Canadiens et Italiens ». Les chercheurs de l’Inhes soulignent l'existence de formations à distance : « Il existe aussi sur Internet des sites proposant des formations à la guérilla, urbaine notamment, comme certaines revues au format PDF, à la fabrication d'explosifs à partir de composants du commerce, au maniement des armes à feu ». Après l'arrestation de membres de la filière irakienne de Montpellier, les modérateurs des forums extrémistes ont invité leurs frères internautes à plus de prudence dans l'évocation de leurs projets.
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© Miguel Garroté
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